Un chat n'est plus un chat

[A propos de l’interdiction imminente de prononcer le participe passé « enculé » — désormais considéré comme relevant de l’homophobie la plus criminelle]
Quelqu’un qui se fait apprécier est… apprécié.
Quelqu’un qui se fait draguer est… dragué.
Quelqu’un qui se fait embrasser est… embrassé.
Quelqu’un qui se fait caresser est… caressé.
etc.
Si maintenant nos élites analphabètes décrètent qu’un constat est une insulte, ce monde va rapidement devenir inhabitable.
Et puis quand on y pense, celui qui s’indigne de l’emploi d’un mot précis pour décrire une réalité précise ne révèle-t-il pas son peu de considération pour cette réalité précise ? Comment quelqu’un qui estime vraiment les homosexuels peut-il trouver dégradants les termes qui décrivent leurs pratiques ? Si quelqu’un s’offusque qu’on appelle un chat un chat, il n’est pas illégitime de s’interroger sur sa considération pour les chats…
Tout cela pour dire que si ces pitreries sémantiques sont réellement un révélateur d’« homophobie » (je vous prie de bien noter les guillemets ironiques), elles le sont plus largement qu’on ne le croit…

5 commentaires sur « Un chat n'est plus un chat »

  1. Pardon mais il n'y a QUE des féministes islamophiles. Leur haine de l'homme blanc quadra et leur amour pour les virils adeptes de la secte de Momo le pédo. Elles aiment le viril, patience, elles vont être servies.

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