Abolition de la peine de mort, et inscription de l’IVG dans la Constitution : pour l’humaniste des Lumières, interrompre la vie d’un coupable est un crime abominable ; celle d’un innocent, un droit inaliénable. Pour ce même humaniste, les paysans méritent bien de se faire fracasser quand ils s’opposent à l’extermination de leur cheptel (composé accessoirement des animaux les plus doux et les plus émouvants de la Création) ; mais ils trouvent mille excuses à un dealer-violeur. Les Lumières sont un culte de la nuisance. Les Lumières sont une guerre à l’innocence.

« Tout le toit aux bœufs était consumé. Mais ce qui fit grande compassion et fit verser des larmes, c’est que ces démons bleus avaient bien éventré, à coups de sabres et de baïonnettes, toutes nos pauvres bêtes. Quelle rage d’enfer ! Quel mal ces pauvres bêtes faisaient-elles à la République ? » Témoignage de Marie Trichet, survivante du génocide vendéen. Les colonnes infernales sont de retour.

L’homme des Lumières ne s’en prend qu’aux innocents. Comme le Diable.

Quand je me dis que nous aurions tous pu vivre dans la civilisation catholique, la plus belle de tous les temps, s’il n’y avait pas eu les Lumières, j’ai quand même du mal à ne pas pleurer.

Heureusement qu’aucune vache ne s’appelait Nahel.

« Ils n’ont plus de pain ? Qu’ils prennent de la coke ! » Notre président dans dix ans.

Dans la civilisation des Lumières, on massacre les paysans, et on laisse prospérer les dealers. Que vous faut-il de plus pour comprendre que les Lumières sont l’ultime chef-d’œuvre du Diable ?

Les écolos se foutent complètement que des animaux reçoivent du gaz lacrymogène : ce qui leur brise leur petit cœur plein d’empathie, c’est que le dieu Climat reçoive des gaz à effet de serre.

Le virus des Lumières se réveille : les colonnes infernales sont de retour.

Je ne sais pas si les marchés de Noël sont une tradition nazie. Mais ce qui est certain, c’est que les goulags sont une tradition communiste.