« La religion est l’opium du peuple », ironisait Karl Marx, ce gros tas de neurones ayant détruit son âme. Lui et tous ses amis remplis d’amour de l’Homme savourent le triomphe de leurs douces Lumières : désormais, ce sont les antidépresseurs qui sont l’opium du peuple.

4 commentaires sur «  »

  1. Il est certain que cette jeune fille a besoin de bien d’autres choses que d’antidépresseurs, des remèdes humains, relationnels, spirituels, qui la reconnaissent et soutiennent son élan vital bien présent (dans ses tentatives répétées de s’en sortir en arrêtant les médicaments).

    Aimé par 1 personne

Répondre à Nicolas L Annuler la réponse.