La rage de posséder est un signe de possession.

Le catholicisme, c’est l’amour ; les Lumières, c’est l’orgueil.

L’islamogauchisme n’est qu’une forme un peu aiguëe d’islamoprogressisme – c’est-à-dire de progressisme.

L’État protège. C’est sa définition. C’est de là, et uniquement de là, qu’il tire sa légitimité.
Un État qui ne protège plus le peuple n’a plus de raison d’être.
Quant à un État qui agresse le peuple…

Les chiens n’élisent pas des chats.

Entre François Retailleau et Bruno Bayrou, il est dur de savoir qui est le plus mou.

Il y a mille fois pire que l’islamiste dans une église : c’est le Français dans l’isoloir.

Les flèches de l’arc républicain n’ont qu’une cible : Jésus-Christ.

«  C’est une très grande question de savoir jusqu’à quel degré le peuple, c’est-à-dire neuf parts du genre humain sur dix, doit être traité comme des singes. » (Voltaire) Les ZFE sont un pur produit des Lumières. Comme les LBD en pleine tête des Gilets jaunes. « Il faut un châtiment qui fasse impression sur ces têtes de buffles. » (Voltaire, toujours – notre gloire du Puthéon – Aux grands hommes la puterie reconnaissante) Et ils sont l’antithèse du catholicisme : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre vous, c’est à moi que vous l’avez fait. » ; « Aime ton prochain comme toi-même. » (Jésus) Ceux qui condamnent les ZFE au nom des Valeurs républicaines et autres embrouilles perverses du genre Droits de l’Homme, sont complices de ce qu’ils croient combattre. Seule la réhabilitation de l’anthropologie catholique nous sauvera de la barbarie des Lumières.

Le mensonge l’excite ; l’injustice l’enivre ; l’inversion accusatoire le fait jouir. Tel est le pervers. Tout progressiste est un pervers… si, si… faites le test…