5 commentaires sur « Visage du nihilisme »

  1. Bonsoir Nicolas. Je vous aime beaucoup, alors je me permets un conseil : Aphatie, Onfray, Naulleau, Barbier et beaucoup d’autres de même acabit… je vous conseil de les oublier. Vous vous faites du mal pour rien. Et parfois je m’inquiète pour vous.

    Il est préférable de parler du beau, de surtout parler du beau ! Par exemple de Marie-Estelle Dupont, qui a fait une interview récemment sur TVL. On a découvert Marie-Estelle durant le Covid, elle a été formidable, et elle l’est toujours autant. Et il y en a d’autres de cette trempe : Louis Fouché par exemple, ou Pierre Chaillot. Avec des personnes ayant autant de qualités, on peut redresser la France.

    Parlons plutôt de ces Héros, qui apportent du beau, de belles valeurs, de la vraie compétence, de la joie, de l’espérance et de l’amour. Non ?

    Ne faisons pas le jeu du Malin, à parler trop souvent de ceux qu’il a mis entre ses griffes.

    C’est un conseil, en toute amitié, vous l’aurez compris.

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    1. Ne pas faire le jeu du Malin suppose de le connaître, de le repérer, de l’identifier sous tous ses masques, toutes ses ruses, pour ensuite le combattre et s’en protéger (on ne peut pas combattre ce qu’on ne détecte pas). C’est ce que font, dans des styles différents, toutes les personnes que vous mentionnez, dont Nicolas. En plus de transmettre du beau…

      Ensuite, c’est une affaire personnelle de se tourner vers un style ou un autre en fonction de nos besoins du moment, filtrer, et je pense que quand on souffre de cette société malade, on a tous parfois besoin de freiner telle ou telle lecture, écoute, pour en privilégier d’autres et retrouver de l’énergie.

      Bonne journée.

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  2. Dénoncer, puis proposer : le temps ne me semble pas encore venu de me consacrer pleinement à la deuxième étape. Mais il viendra — sans doute quand j’aurai achevé ce livre. Alors vous verrez, je vous parlerai de Beau : je vous parlerai de Rubens, du Corrège, du Tintoret, de Giambologna, de Bartolini, de Paulinho Nogueira, d’Ana Moura, d’Antonio Zambujo, et surtout, surtout, de Mozart… Mais avant cela, avant de célébrer les constructeurs, finir de dénoncer les destructeurs. Je n’ai pas fini. Quoi qu’il en soit je vous remercie de vous soucier ainsi de moi ; si cela peut vous rassurer, je ne suis pas aveugle aux signes réjouissants de ces derniers temps, parmi lesquels je compte l’entrée en scène de Trump et l’influence croissante des gens que vous évoquez.

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  3. En effet, Jean Michel Aphatie est bien l’archétype du boomer et ses clones ont bien détruit la France.

    Ce vendeur de voitures, bachelier à …..24 ans, découvrit sa passion pour le journalisme politique avec l’élection de Fr. Mitterand: ce faux évadé des camps allemands et « L’homme qui ruina la France »; …. Aphatie ce destructeur de la France avait affirmé en 2016 que : « s’il était président de la République, il raserait le château de Versailles pour que nous n’allions pas la-bas en pèlerinage, cultiver la grandeur de la France »

    C’est dire sa haine de la France qu’il voudrait débarrasser de son Histoire, de ses beaux monuments etc…car la grandeur de la France, est le poison pour ce journalope…et tant d’autres.

    Tous ces donneurs de leçons de moraline, responsables de la cancérisation de notre pays méritent donc une plume acérée à défaut d’un poignard. En effet,en état d’urgence et comme le proclamait si justement A Soljénitsyne : « La plume se doit de remplacer le poignard »

    On ne pourra parler du Beau, du Vrai que lorsque toute cette crasse dégoulinante ( l’orgueil satanique de l’homme qui se veut Dieu) sera nettoyée, vouée aux gémonies

    C’est pourquoi les bons écrits ( ceux qui vont à la racine du mal, c’est-à-dire jusqu’à l’os) sont le seul chemin, la seule voie de l’efficacité car seule la Vérité triomphera dans ce monde tragique. Combattre, dénoncer sans relâche, tous ceux qui par ressentiment ou vengeance ( ethnomasochisme) entendent défigurer notre pays; affronter, combattre c’est risqué mais c’est porteur.

    Haro sur le baudet sans limite.

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