4 commentaires sur «  »

    1. Pas évident effectivement. De manière simple et générale, c’est le fait de projeter à l’extérieur ses propres ressentis (ça peut être sur un objet ou une personne). C’est un mécanisme inconscient. Ici, attribuer à autrui des pensées, idées, sentiments, comportements, que l’on ne reconnaît pas en soi. Ce n’est pas moi qui suis intolérant, autoritaire, déstabilisé par un discours différent; c’est toi qui « ne crois pas en la science », qui veux imposer ta façon de penser, qui es coupable du désordre… Bon, ce n’est peut-être pas approprié mais c’est ce qui me vient spontanément.

      Plus couramment et légèrement, une projection peut être un parent qui veut que son enfant fasse le métier qu’il n’a pas réussi à faire. Et une projection sur un objet peut être l’état d’âme de l’artiste que l’on perçoit à travers ses créations.

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  1. En effet, le progressiste projette sur l’autre ses propres craintes, ses propres délires, ses propres désirs, etc….qu’il ressent comme interdits pour lui-même, c’est son premier système de défense inconscient.

    Deuxième stade: la représentation consciente: « le progressiste voit des fascistes partout »: après avoir projeté ses délires (peuplés de fantomatiques fascistes avec tout le fatras dont son cerveau regorge). le voilà englué dans son propre délire: c’est une opération mentale dans le but de se sortir d’une situation émotionnelle vécue comme intolérable pour lui. Autrement dit, le progressiste transporte les éléments de son espace psychique interne dans un monde qui lui est extérieur.La projection qu’il fait peut se définir comme un déplacement de ses propres sentiments, de ses propres pulsions vers un support récepteur extérieur.Cela s’appelle la paranoïa.

    « Sauf dans son miroir »: cela rappelle  » la parabole de la paille et de la poutre. »…

    En résumé: tenter d’échanger avec un progressiste c’est entrer, ipso facto, dans le monde des fous.

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