« La seule loi de l’Histoire, c’est la surprise » écrivait Max Gallo. Avant de m’intéresser et, par la force des choses, de me passionner pour cette campagne présidentielle, je méprisais un peu le peuple américain. Matérialiste. Pas très artiste. Et protestant. J’avais tort : un peuple capable non seulement de faire émerger des personnalités comme Donald Trump et Elon Musk, mais de les mettre à sa tête en résistant au terrorisme intellectuel et au gaslighting d’une effroyable conjuration de pervers, un tel peuple, dis-je, n’est pas du tout un peuple méprisable. C’est un peuple admirable. Puisque, par deux fois (et sans doute trois, en vérité), il a envoyé des roustes dantesques au cartel des Lumières. Et que c’est avec lui que commence la guerre au nihilisme.
Chronique d'une époque de nains 
Bonsoir à tous. Ceci m’inspire une réflexion : 1/ soit le deep state a déjà perdu la main (pourquoi avoir choisi cette dinde de Kamala ? pourquoi avoir aussi lamentablement échoué dans les tentatives d’assassinat #1 puis #2 ?), ce qui est quand même très étonnant car ils ont toutes les manettes actuellement, 2/ soit le deep state a laissé gagné Trump car ils ont besoin de lui pour un certain très gros projet, dont il sera un des premiers piégés, 3/ soit enfin le deep state est tellement déconnecté qu’ils étaient persuadés de gagner avec peu de moyen (expliquant le choix de la dinde, expliquant des tentatives d’assassinat baclées).
Le point 2/ est flippant (great reset, maladie X, cyber-attack géante sous contrôle comme le covid). Alors pour rester optimiste, je retiens le point 3/, car l’échec cuisant de l’opération US en Ukraine est une marque d’un fort déclin de ce deep state.
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Oui, je me pose les mêmes questions et l’hypothèse 3 me semble la plus probable.
Pourquoi ?
Parce qu’elle répond au raisonnement du rasoir d’Ockham. Il fournit la bonne explication la plupart du temps, surtout en ce qui concerne les grandes organisations complexes comme un état.
Il est déjà difficile d’obtenir la synchronisation des actions dans une entreprise où les stratégies, les discours, la culture sont diffusés sur tous les tons. Alors, dans un état multi-couches, hétérogène et hétéroclyte, je vois mal comment réaliser un projet global en secret.
Quoi qu’il en soit, la victoire Trump nous fournit enfin un prétexte de réjouissances et un espoir pour les Etats-Unis. Le cancer gauchiste est cependant tellement incrusté depuis si longtemps que je crains d’être déçu du résultat.
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Vous m’avez inspiré une (autre) réponse :
https://blognicolas.fr/2024/11/08/12231/
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