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  1. En effet, on ne peut qu’acquiescer à ce constat.Les militantes féministes se définissent elles-mêmes de doux noms….  » chiennes de garde »-« Ni putes ni soumises »- « la meute »….véritables repoussoirs,gros thons hargneux et véritables catastrophes ambulantes partout où elles s’exhibent……Au-delà de leurs physiques singulièrement reconnaissables, elles sont souvent atteintes de diarrhée verbale et s’approchent au fil des ans de la figure zoologique: l’anomalie parasitaire.

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