Enoncé beau et mystérieux, qui donne envie de savoir pourquoi c’est aussi une malédiction. Et cela vous appartient bien entendu, juste pour dire que si un jour vous souhaitiez écrire là-dessus, ce serait intéressant :).
« L’amoureux passionné du beau style s’expose à la haine des multitudes » disait à peu près Baudelaire. Rassurez-vous : je ne suis pas fou au point de me comparer à l’immense Baudelaire. Je pense cependant que faute d’avoir la même grâce, nous avons tous deux senti cette étrange malédiction. Mais je ne veux pas m’étaler davantage. Merci en tout cas de ne pas faire partie de ces multitudes.
Merci beaucoup pour ce complément. Le rejet et les attaques en tout genre sont aussi éprouvants qu’ils sont des compliments en quelque sorte, c’est parce que vous écrivez « vrai » et « fort » que ça sucite cela. C’est une maigre consolation j’en ai bien conscience mais ça a de la valeur. Il y a une phrase que j’aime bien et qui est je crois de Christian Dubuis-Santini (ou reprise par) qui dit : « À ce dont se satisfait l’esprit se mesure l’étendue de sa perte. » Ceux qui attaquent, frontalement de surcroît, atteignent certes mais valent peu et ne vont pas chercher plus loin… Tenter de revenir au peu (par opposition aux multitudes), mais authentique et humainement riche.
Chronique d'une époque de nains 
Enoncé beau et mystérieux, qui donne envie de savoir pourquoi c’est aussi une malédiction. Et cela vous appartient bien entendu, juste pour dire que si un jour vous souhaitiez écrire là-dessus, ce serait intéressant :).
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« L’amoureux passionné du beau style s’expose à la haine des multitudes » disait à peu près Baudelaire. Rassurez-vous : je ne suis pas fou au point de me comparer à l’immense Baudelaire. Je pense cependant que faute d’avoir la même grâce, nous avons tous deux senti cette étrange malédiction. Mais je ne veux pas m’étaler davantage. Merci en tout cas de ne pas faire partie de ces multitudes.
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Merci beaucoup pour ce complément. Le rejet et les attaques en tout genre sont aussi éprouvants qu’ils sont des compliments en quelque sorte, c’est parce que vous écrivez « vrai » et « fort » que ça sucite cela. C’est une maigre consolation j’en ai bien conscience mais ça a de la valeur. Il y a une phrase que j’aime bien et qui est je crois de Christian Dubuis-Santini (ou reprise par) qui dit : « À ce dont se satisfait l’esprit se mesure l’étendue de sa perte. » Ceux qui attaquent, frontalement de surcroît, atteignent certes mais valent peu et ne vont pas chercher plus loin… Tenter de revenir au peu (par opposition aux multitudes), mais authentique et humainement riche.
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