10 commentaires sur « Bonne nouvelle »

  1. Que l’Esprit sain, la charité divine, ou je ne sais quel mot qui se termine en ‘ence’ nous préserve d’avoir des pourris, des traitres, des crapules, des vendus, des enculés du genre de « de Gaulle » , dont tous les français se réclament maintenant, (preuve de leur définitive décadence) pour éviter que l’Europe tombe encore plus bas.

    Je sais en écrivant cela être en parfait accord avec notre hôte Nicolas;

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    1. Vous aimez ? Hélas, 1000 fois hélas.

      Reprenez vous et retirez ce post navrant, délirant (même pas provocateur) sur de Gaulle qui salit votre blog.

      défoulez-vous sur d’autres, ce ne sont pas les exemples qui manquent !

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      1. Je suis vraiment navré de ne pouvoir partager votre degaullâtrie, et des irrépressibles torrents de dégueulis que De Gaulle le dégueulasse déclenche chez moi. Mais je suis libre d’être écœuré par les méfaits gravissimes de cet homme, et de le dire.

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  2. Finalement, vous avez tout dit dans votre post initial, dont vous êtes l’incarnation: l’histoire des hommes n’est pas régie par la raison.

    Et vous concernant, j’ajoute: quel dommage!

    ça m’évoque l’écoute d’une partition de Mozart dont quelques pages auraient été remplacées sans prévenir par du Stockhausen par un mauvais génie sadomaso.

    Lors de l’écoute, la surprise est totale, et le choc brutal.

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    1. Gresildor, je me mêle de ce qui ne me regarde pas mais comme ces commentaires sont à la vue de tous, je réagis. Vous exprimez vous aussi un processus qui ne relève pas de la raison, le choc de découvrir un avis aux antipodes du vôtre chez quelqu’un que vous appréciez et chez qui vous ne soupçionniez pas cela. La raison et la réalité nous disent pourtant que, même chez l’être que l’on aime le plus, on n’est jamais d’accord sur tout, il peut même y avoir des choses que l’on déteste, ce qui n’empêche pas d’aimer (c’est l’ambivalence présente dans toute relation). Si on occulte cette dimension (idéalisation), il y a forte déception ou même choc. Qui peut avec du temps être digéré, laisser peut-être une amertume, mais ne pas empêcher d’apprécier l’ensemble.

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