Le supplice du 7 octobre 2023, c’est ce qu’ont vécu les Vendéens. Pas quelques heures. Pendant des mois. Les origines de la République, c’est un 7 octobre 2023 qui se répète chaque jour pendant des mois. Pendant des mois…
Les origines de la République, c’est Westermann, général des troupes révolutionnaires qui se glorifie d’avoir « écrasé les enfants sous les pieds des chevaux », « massacré les femmes », et conclut, triomphal : « Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. » C’est Pinard, membre du comité révolutionnaire qui parcourt les campagnes vendéennes à la recherche d’innocentes à violer le plus salement possible puis, une fois pris son plaisir, les jette en pâture aux bataillons de montres en rut qui l’accompagnent — jusqu’à ce que mort s’ensuive : « Trois de ces malheureuses, dont il avait joui, furent livrées à la garnison. Elles furent traitées avec une barbarie dont la suite fut des plus funestes. Une d’elles essuya en un seul jour les outrages de plus de cent de ces furieux. Ses compagnes subirent un sort à peu près semblable. De pareilles atrocités les avaient tellement affaiblies que, sortant de leurs bras, elles ne purent se soutenir et elles étaient en outre dans un état d’imbécillité déplorable. Trois jours après, ces bourreaux les fusillèrent. » Les origines de la République, c’est les soldats de la République qui, s’emparant d’un enfant de quatre ans, « lui avaient percé la gorge avec un sabre et passé un bois dans le trou, puis l’avaient planté, en place de barrière, sur le bord du chemin. Dans sa petite main crispée par les tortures de la mort, ils avaient mis un papier où il y avait écrit : «Vive la République» ». La République, oui. Les Vââââleurs de la République…
L’acte de naissance de la République est un génocide. Les racines du pays nouveau — et de ses hommes nouveaux — plongent dans des fosses communes. Développent leurs méandres dans des tas de cadavres. De telles origines homicides ne peuvent être sans conséquence sur la psyché française. La fascination du Français contemporain pour la barbarie vient de la sauvagerie intrinsèque des Lumières. Sa fureur insatiable d’ensanglanter la France vient des décapitations, des tortures d’enfants, des viols à cent contre une, des noyades de groupes, des écorchements vifs et des éventrements de femmes enceintes par lesquels naquit la France des Lumières. Des atrocités dingues dont le peuple français garde une sourde nostalgie, et qui expliquent ses votes halal même et surtout après le Bataclan, après Merah, après Paty, le père Hamel et la compote niçoise et les émeutes de 2005. Des votes halal réitérés même et surtout depuis qu’il y a en France des militaires partout, 130 agressions au couteau par jour, 1 900 agressions gratuites par jour et 230 viols par jour. Un homme qui vote pour que cette situation naisse, dure et s’aggrave est un psychopathe. Et il peut bien vous raconter qu’il incarne la Liberté, l’Égalité et la Fraternité : ce parler par antiphrases ne fait que confirmer son allégeance au Prince du mensonge. Le Prince du mensonge, véritable maître des Français d’aujourd’hui, ces psychopathes. Et véritable maître des salopes du Hamas, ces psychopathes. Satan a mille visages ; il n’a pas de frontières.
La nature d’une cause se révèle dans les moyens employés pour la défendre : la République et le Hamas servent la même cause. Ils servent le même Maître. Sous des habits distincts ; mais c’est bien le même Maître. La Révolution française était un Djihad. C’est-à-dire une offensive triomphale du Diable. Une déferlante de rage, de barbarie, de pure cruauté pour jouir des cris des suppliciés et des torrents de sang. Comme ce 7 octobre. À deux siècles d’écart, la République et le Hamas sacrifient à la même Bête immonde. Seule la langue diffère. « Vive la République ! » = « Allah Akbar ! »

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