Je n’en veux pas aux musulmans d’être des musulmans. Je n’en veux même pas aux djihadistes d’être des djihadistes. Mais j’en veux aux Français d’être des cons. Et des lâches. Des cons et des lâches qui n’ont jamais rien voulu comprendre à l’Islam. Jamais rien voulu connaître de l’histoire terrifiante de cette religion (à part, entre deux Spritz à 15 € sur un rooftop de Séville, une page très subtile du Guide du Routard sur les joies du multikulti en Andalousie). Des lâches qui, par peur d’être taxés d’extrême droite par des pigistes incultes (pléonasme), ont envoyé l’un des plus beaux pays du monde en enfer. Des lâches qui, pour préserver leur pompeuse respectabilité bourgeoise, ont méprisé, insulté, nazifié ceux qui les prévenaient que le Djihad en France était inéluctable, s’ils continuaient de voter ainsi. Des lâches qui, même quand le Djihad a commencé, ont continué de mépriser, insulter, nazifier ceux qui les suppliaient d’arrêter de voter Djihad. Pour l’avenir de leur pays. Pour l’avenir de leurs enfants. Mais ces lâches de Français se foutent de leur pays. Ils se foutent même de leurs enfants, ces lâches. Tout ce qui compte pour ces lâches, c’est qu’on ne dise pas qu’ils sont d’extrême droite. Ces lâches ont gagné : la postérité ne dira pas qu’ils étaient d’extrême droite. Elle dira seulement qu’ils ont détruit la France. Et la vie de leurs enfants. Bravo les lâches.
Un goût très amer que tout cela…
Il faut tout de même reconnaître que ceux qui ont instrumentalisé le FN n’ont pas été cons, pour arriver à leurs fins. Par contre, traites, oh que oui.
La politique, c’est vraiment un monde de traitres et de salopes.
Un politicien traitre (pléonasme)…
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