L’analogie du serveur

Ceux qui contestent l’existence de Dieu au prétexte qu’il ne pourrait s’occuper simultanément de plusieurs milliards d’êtres humains, ignorent sans doute qu’Internet a depuis fort longtemps détruit cet argument par une invention miraculeuse : le serveur.

3 commentaires sur « L’analogie du serveur »

  1. Ceux qui utilisent cet argument sont des matérialistes obtus, moins paranos mais tout aussi niais que les croyants. 🙂

    Je l’ai déjà dit, je suis athée non matérialiste.
    Qu’est ce que ça veut dire?

    Que l’univers dans son ensemble n’est PAS de la même nature que les objets du quotidien, les atomes ne sont pas des « petites boules », les trous noirs pas des « grosses boules », le code génétique n’est pas un « programme » ou un « message », etc, etc…

    C’est compliqué, or TOUS les dogmes religieux sont faits pour être (plus ou moins…) compris par le vulgus pecus (madame Michu) ils sont donc nécessairement FAUX.

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  2. @realist
     » TOUS les dogmes religieux sont faits pour être (plus ou moins…) compris par le vulgus pecus (madame Michu) ils sont donc nécessairement FAUX. »

    « TOUS les dogmes religieux »: de quoi parlez-vous!…de quelles religions!….
    Le protestantisme n’a pas de dogmes
    L’Islam n’a qu’un seul « dogme »: le monothéisme
    Le judaïsme est une législation et non une théologie révélée
    Quelle est donc la religion dont » les dogmes religieux sont faits pour être compris par Madame Michu  » « ils sont donc nécessairement faux »
    (affirmation sans aucune démonstration par quelqu’un qui se targue de lire des milliers de revues scientifiques….)
    .

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    1. « de quoi parlez-vous! »

      Du fait que toutes les religions « expliquent » leurs croyances et prescriptions strictement dans les termes du quotidien, décrivant des événements et des actions tout à fait concrètes, même si ils sont physiquement invraisemblables.

      Or, justement, ce qui est physiquement, scientifiquement vraisemblable n’est PAS exprimable dans les termes concrets du quotidien.

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