
Éric Naulleau dénonce l’islamogauchisme avec l’énergie du criminel qui charge son complice. Comprenons-le : sans naulleauisme, pas d’islamogauchisme. Sans naulleauisme, pas de sandrine-rousseauisme. Sans les votes Jean Moulin de Naulleau et ses semblables, sans leurs ignobles procès en fascisme de Le Pen père et fille (procès relevant de l’inversion accusatoire la plus perverse), l’islamogauchisme n’existerait pas. Puisqu’il n’aurait pas d’électeurs. Les islamoracailles – et leur traduction politique : l’islamogauchisme – sont les fruits du vote Jean Moulin. C’est à cause de nos magnifiques résistants d’isoloir que la France est à feu et à sang, et s’enfonce dans la barbarie. Qui veut faire l’ange fait la bête… Et qui a fait la bête voudrait bien faire l’ange : cet orfèvre de l’entourloupe qu’est Éric Naulleau tentera désormais toutes les contorsions rhétoriques, finasseries cauteleuses, arguties sinueuses et indignations vertueuses pour faire oublier que les racailles sont ses fils. Et Sandrine Rousseau sa fille – qu’il reconnaisse ou non cette belle progéniture. Œdipe compliqué…
Les mêmes petites oreilles décollées et agaçantes que manuel valls… (pré)destinées à être tirées pour guider l’impétrant hors de la scène
J’aimeJ’aime