On leur a présenté Macron comme un Mozart de l’économie ; les Français ont pâmé. Sans s’aviser que par temps d’art contemporain, il est toujours prudent de se méfier des Mozart.
Mois avril 2022
Misère du conformisme
La plupart des bobos qui ont voté Macron l’ont fait « pour être dans le camp des vainqueurs ». Si ces collégiens n’ont pas le mérite de la pensée complexe, ils ont au moins celui de la constance ; et l’on sait dans quel camp ils auraient été, il y a 80 ans.
L'homme des Lumières
Face à la contradiction, le progressiste ne cherche pas à articuler un raisonnement ni à développer des arguments : il cherche quelle étiquette coller sur son contradicteur. Il appelle ça « sens du débat ». « Ouverture au dialogue ». Et « Respect de l’autre ».
1950-2050 résumé en une phrase
Les boomers ont joui de la France, puis ils l’ont tuée.
Retour au diagnostic
Éric Zemmour avait fait naître en moi l’espoir d’avoir tort. D’avoir noirci le tableau. D’avoir commis une erreur d’appréciation en diagnostiquant une lourde et irrémédiable tendance suicidaire chez le peuple français. Cet espoir a fait long feu. Je reviens donc à la pensée qui prévalait avant ces quelques mois d’espérance :
Mais le peuple français veut-il vivre ? Le veut-il réellement ? Quel est le sens profond de ces quarante années d’autodestruction ? Comment interpréter cette obstination à ne pas se sauver ? À systématiquement cracher sur les mains tendues ? À choisir toujours non pas le moindre mal, mais la pire option ? Que cela révèle-t-il de la psyché française ? Au-delà des mots, des déclarations et des dénégations…
Car il fait peu de doutes que le peuple français répondra qu’il veut vivre, si on lui pose la question. Mais ce seront des paroles ; et nous avons déjà vu ce que valent les paroles du peuple français, au XXIème siècle… Nous ne sommes plus au Moyen Âge, quand la société était fondée sur le caractère sacré de la parole… Aujourd’hui moins que jamais, parler n’engage : aujourd’hui plus que jamais, la vérité d’un homme se révèle dans ses actes. Idem pour un peuple.
Un peuple qui, dans les sondages, prétend qu’il ne veut plus d’immigration, et qui dans l’isoloir vote immigrationniste non pas une fois (l’erreur est humaine…), mais systématiquement depuis quarante ans (… la persévérance est diabolique), un tel peuple révèle sa volonté de mourir. Même s’il s’en défend, même s’il est sincèrement convaincu de penser le contraire, les faits sont là, solides, éloquents. Irréfutables. Même s’il vous chante sur tous les tons qu’il ne veut évidemment pas être envahi et remplacé, que ce ne serait pas rationnel (mais l’homme est rarement rationnel, et la foule l’est encore moins), il suffit d’examiner ses actes pour connaître sa vérité. La vérité du peuple français, c’est qu’il souhaite l’invasion. La soumission. Et la disparition. Les paroles expriment le conscient ; les actes trahissent l’inconscient. Les enquêtes d’opinion, c’est les paroles ; les bulletins dans l’urne, c’est les actes… Des actes accablants. Des actes terrifiants. Des actes désespérants. Des actes qui révèlent l’inconscient suicidaire du peuple français.
Certains hommes se suicident ; pourquoi pas certains peuples ? Pourquoi pas, même, certaines civilisations ? Des civilisations gagnées par la lassitude, le dégoût de soi, et la fascination pour le gouffre. Comme certains hommes…
« En général, aucune civilisation n’est détruite du dehors sans s’être d’abord ruinée elle-même, aucun empire n’est conquis de l’extérieur, qu’il ne se soit préalablement suicidé. Et une société, une civilisation ne se détruisent de leurs propres mains que quand elles ont cessé de comprendre leurs raisons d’être, quand l’idée dominante autour de laquelle elles s’étaient organisées leur est devenue comme étrangère. » Ainsi parle l’immense historien René Grousset. C’est peu dire que le peuple français, arraché à son histoire et à ses racines catholiques, a cessé de comprendre ses raisons d’être ; peu dire que l’idée dominante autour de laquelle il s’était organisé — le catholicisme — lui est devenue comme étrangère. Bien plus qu’étrangère, la religion catholique lui est devenue un objet de répulsion. De répugnance. De haine. Comme atteint d’une maladie auto-immune, le peuple français rejette ce qui l’a fait. Ce qui constitue, qu’il le veuille ou non, son essence, sa singularité, sa personnalité. Le peuple français a perdu son âme. Ne sachant plus qui il est, il devient ce qu’on lui demande. Aujourd’hui, un esclave du marché ; demain, un esclave de l’islam. Et après-demain, un esclave du marché aux esclaves de l’islam.
(extrait de La tyrannie des nains)
Clarification
La fille aînée de l’Église deviendra-t-elle la putain de l’Oumma ? C’était la seule question de cette élection. Nous avons la réponse.
Des urnes à l'abattoir
Ce qui s’est passé ce 10 avril 2022 est la preuve que la terreur intellectuelle règne plus que jamais. Que l’intimidation a définitivement annihilé la réflexion, les facultés d’observation, et jusqu’au plus élémentaire instinct de survie…
Peuple-bétail
Les urnes ont parlé : les Français ont voté pour Allah et pour Mc Kinsey. Toujours plus de piquouses, toujours plus de racailles : voilà l’avenir rêvé des Français. Piqués comme du bétail, égorgés comme du bétail…
Il n’y a plus de peuple français : il n’y a plus que du bétail. À piquer, repiquer, rerepiquer, puis égorger.
Allah Akbar !
L’analyse de ce scrutin tient en deux mots.
Incompétence et malveillance
Il n’y a pas de vote caché : il n’y a que des sondeurs aveugles. Ce, plus ou moins volontairement…
