« Qui s’ouvre indifféremment au vrai comme au faux est mûr pour n’importe quelle tyrannie » écrivait Bernanos, qui ajoutait : « La civilisation totalitaire est une maladie de l’homme déspiritualisé ». Deux siècles d’anticatholicisme ont en effet porté leurs fruits : le fascisme, le communisme et le nazisme furent les premiers produits de l’Occident décatholicisé. Place désormais au totalitarisme vaccinal et à son régime de pointage perpétuel, de délation vertueuse et d’apartheid nonchalant. Avec l’ardente approbation d’une humanité idiote et avilie ; une humanité qui, niant sa part divine, choisit d’être bovine.
Ce texte fait partie de l’ouvrage :
Chronique d'une époque de nains 
Comment ça? Mais l'espoir revient!
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Pertinente analyse, parfaitement mise en mots ! J'adore la chute de votre texte (un alexandrin si je ne m'abuse) : « qui, niant sa part divine, choisit d'être bovine » !Tout cela est désespérant, mais les adeptes de la piqûre magique ne veulent rien voir, rien entendre : leur dévotion à Saint Pzifer les rend imperméables à toute logique, à toute lucidité, à toute réflexion ! Comment a-t-on pu en arriver là, à ce peuple décérébré, prêt à se soumettre, à tout accepter -même la fin de ses libertés- pour échapper à un virus si peu létal ?
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Quelle excellente lectrice vous faites, décidément! En effet, alexandrin, paronomase et parisose (en supprimant le « qui » et en appliquant la diérèse à « niant »). Bonne journée !
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