L’homme préhistorique était fou. Il n’est pas resté confiné dans sa grotte, alors que dehors menaçaient les prédateurs, les accidents de terrain, les plantes toxiques et les maladies (contre lesquelles il n’avait aucun traitement). Il n’a même pas instauré de couvre-feu entre 21h et 6h. Oui l’homme préhistorique était fou, de vivre selon le principe de risque et non de précaution. Certes c’est ainsi, en prenant constamment des risques, que lui et ses successeurs ont progressivement fait l’Histoire. Qu’ils ont quitté leurs grottes. Conquis le monde. Et érigé des civilisations. Mais que d’inconscience ! Que de folie ! Que de sottise ! Qu’on pense seulement à cet idiot de Saint Louis, parti jusqu’à Tunis d
… restons entre esthètes : la suite est réservée à ceux qui savent vraiment apprécier ma plume. Explications :
« La seule manière de gagner de l’argent est de travailler de manière désintéressée. » Je révère Baudelaire, mais je dois me résoudre à cette désillusion : Baudelaire avait tort. Pour écrire, j’ai ruiné ma carrière. J’ai tiré un trait sur les gros salaires que me promettait mon gros diplôme de grosse école d’ingénieurs. Et je vais au devant de procès, d’intimidations, de saccages de ma vie sociale et de tourments en tous genres… J’en suis donc arrivé à me dire, peut-être orgueilleusement, que l’ivresse de mes textes valait bien celle d’un demi-demi de bière. Par mois… Et je me suis même dit, peut-être ingénument, que ceux qui m’appréciaient seraient heureux de pouvoir me témoigner leur gratitude par ce petit geste. Un petit geste pas si petit, à l’aune de l’effet qu’il aurait sur ma confiance et sur mon engagement… Un petit geste qui pourrait susciter de grandes choses… car si écrire est une activité solitaire, on est bien moins fécond lorsqu’on écrit dans le désert… Merci d’avance, donc, à ceux qui estimeront que mon temps, mes efforts, mes sacrifices, et surtout le plaisir qu’ils prennent à me lire valent bien ce petit geste de reconnaissance. Et d’encouragement. Car je ne sais pas si vous avez remarqué, mais en ce siècle barbare, les belles plumes sont une espèce de plus en plus rare… une espèce menacée…
Ce texte fait partie de l’ouvrage :

Je pense que la réponse est de ne plus rien en attendre. On pourrait tergiverser des heures à savoir si c'est de la faute à tout le monde (on existe… À partir de là tout le monde a un impacte sur son environnement que je sache) ou uniquement de nos dirigeants. D'autre diront aussi que c'est de la « faute à personne », je la connais celle là ! Toutefois, si on accepte qu'il n'y a plus rien à en attendre, viens la conséquence 2 qui est un choix à 2 possibilités : Ne plus rien en attendre sans rien tenter de changer en attendant que ça se casse la tête, ou ne plus rien attendre dans le sens d'entreprendre en passant à autre chose. Pour ceux qui optent pour le choix 1, on arrête là la réflexion, ces personnes ont déjà tout ce qu'il faut pour ne rien faire dans le modernisme ! D'autres personnes vont vouloir sortir de la modernité stupide et autodestructrice. Et alors là réside encore 2 possibilités : Le retour à nos valeurs véritables et traditionnelles via le christianisme ou une autre culture. Et là c'est soit une affaire de nombre et donc de temps en fait (plus vite c'est fait et plus c'est encore possible) ou de guerre : Une sécession.Pour le moment, quand je parle de l'état de notre société à quelqu'un, voici ce que j'ai comme résultat :La personne ne s'est pas encore posé la question, mais aussi, elle se bat (verbalement) pour vous prouver que ça ne la regarde pas. Elle finira par vous parler de la grandeur de la laïcité et des droits de l'homme ( avec l'expression du « c'est pas si mal après tout »), et vous dira enfin devant quelques arguments que la petitesse de sa personne ne peut rien et qu'ainsi rien n'est de sa faute (ce qui doit être pris comme une justification). Dans sa globalité, la population en est donc encore au stade de se justifier par son insignifiance, que dis-je, c'est la course au plus insignifiant en général ! Le plus insignifiant passe pour mieux que les autres dans le modernisme car il a fait moins, réfléchi moins, vie moins et les droits de l'homme adorent cela. Aussi le plus insignifiant ne cherche pas à propager ses réflexions,ce qui est très bien vue encore une fois dans la religion des droits de l'homme. Enfin après vous savez, on est sur le blogue des minuscules…Imaginez le travail qu'il reste à faire !Bon courage !
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Le risque c'est la vie et inversement.Celui qui refuse cette équation et donc les inévitables « factures », fractures, peines, douleurs, souffrances mais aussi joies, succès et récompenses que la vie prodigue doit se suicider au plus vite afin de rester cohérent avec lui-même.La minute qui suit est déjà une gageure.
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