A-t-on déjà vu des parents endettés s’endetter encore plus pour aider, non pas leurs enfants, mais ceux des autres ? Lesquels, de surcroît, s’attaquent à leurs enfants ?
C’est ça, la France.
Et ses enfants en redemandent.
A-t-on déjà vu des parents endettés s’endetter encore plus pour aider, non pas leurs enfants, mais ceux des autres ? Lesquels, de surcroît, s’attaquent à leurs enfants ?
C’est ça, la France.
Et ses enfants en redemandent.
Bonjour Nicolas L.Votre article me fait penser à autre chose et j'aurais aimé avoir votre point de vue si jamais vous vous sentez l'envie de me répondre. Je suis né au milieu du progressisme, dans la détestation de mon ethnie, la détestation de la religion qui est à présent la mienne, la détestation de ma culture globalement. J'ai grandi haïs car j'étais blanc et souvent seul blanc avec des prétendus privilèges que je ne voyais pas. Que ce soit en famille d'accueil ou en foyer c'était la même histoire peu ou prou.Puis un jour j'ai compris la décadence dans laquelle je vivais, bien tard, mais mieux vaut tard que jamais. Quand on comprend ce dont on cherche à nous priver on peu enfin se construire un peu.Cet été j'ai fait un pèlerinage et une rentrée diocésaine (je suis chrétien catholique), je dois vous avouer qu'après « blacklivematter » voir des prêtres noirs en très grand nombre, n'ayant même pas grandis dans mon pays me rend malade. Je n'ose rien dire pour le moment mais très franchement je n'ai plus envie d'aller à leurs offices. Ma seule impression à leur vue est le remplacement de peuple. Chez les fidèles, je contemple l'auto-détestation quand ils rigolent à la moindre des blagues des prêtres noirs pour montrer leur soumission anti-raciste. On me dit qu'il n'y aurait pas de prêtres dans certaines paroisses sans eux, je le comprends quand toutefois cela me fait penser aussi à la petite ritournelle nous surinant que nous aurions besoin de l'immigration pour des secteurs peu attractifs sur le plan économique. À mon avis, on finiraient bien par se relever les manches à moment ou à un autre et surtout sans eux.Rejeter ces prêtres intérieurement, c'est aussi pour moi le signe d'un manque de Charité . De plus, ils sont tout de même ordonnés par sacrement dans l'Eglise de notre Seigneur ! Je suis donc très partagé et je ne sais pas comment me comporter.Je dois avouer que même avec la meilleure des volontés, ils restent pour moi le contingent d'un peuple importé par la force et je ne me reconnais pas en eux. Je me sens aussi spolié, comme s'ils choisissaient finalement notre culture (via notre religion) quand cela les arrange et nous voilà encore à genoux devant ces visiteurs. Les fidèles catholiques les voient comme un progrès, une avancée, comme si demain sera mieux avec toujours plus de tolérantisme envers toutes les ethnies. Ils n'ont en général pas quitté leur province pour les quartiers que j'ai fuis. j'ai envie de leur montrer les quartiers où j'ai grandi et ce que c'est d'y habiter quand on est blanc et seul. Peu me chaut de passer pour le pire des racistes, c'est par rapport à moi-même que la question est difficile à trancher. Pensez-vous que j'ai des raisons suffisantes pour me retirer de leurs cérémonies ? Si vous avez un avis, merci beaucoup.
J’aimeJ’aime
Bonjour,Personnellement, je me fiche éperdument de la couleur de peau. Et je préfèrerais mille fois une France noire et catholique, à une France blanche et musulmane. Cela étant dit, j'émets l'hypothèse que ce qui vous dérange est moins la couleur de peau de ces prêtres, que la tonalité progressiste (autrement dit anticatholique) de leurs homélies ; ce qui, selon moi, serait une raison amplement suffisante de les envoyer foutre-qu'ils soient blancs, noirs ou jaunes. Bien à vous.
J’aimeJ’aime
Bien sûr que leur couleur de peau ne me dérangerait pas si on était pas dans un remplacement de peuple, si on ne voyait pas de la propagande tel un culte à ce qui n'est pas blanc. Surtout depuis cette année et je suis désolé de le dire mais leur couleur de peau me renvoie une image très négative à présent. Il y a en plus et c'est vrai, la tonalité progressiste des homélies. Alors bien sûr cette « tonalité » se retrouve dans les nuances, ce qui ne rend pas la chose simple.Cette année, la moitié des prêtres étaient noirs (et sans doute venant de l'étranger) à la rentrée du Diocèse et ce n'est pas un hasard par rapport au contexte dans lequel nous vivons et où en est notre société. Pourtant, pas un murmure sur le sujet, il y a là un silence qui me dérange.Il faut avouer qu'ils ne viennent pas en familles (des prêtres…), se multiplier et nous imposer un autre culte même si ils apportent leur touche. C'est très compliqué à trancher, du moins pour moi.Merci de votre réponse et du temps que vous avez pris ! (dans la hâte d'un prochain livre !!).
J’aimeJ’aime