Le communisme est un infantilisme. Un avatar sanglant de la pensée magique et du principe de plaisir. Méprisant obstinément la réalité, le communisme n’est qu’une longue succession de dénis : commençant par un déni de nature humaine (1917), il se poursuit par un déni d’échec (tout le XXème siècle), et continue par un déni de génocide (2019).
Voilà pourquoi contre un communiste, l’argumentation, l’approche dialectique et la controverse rationnelle sont vaines ; ou plutôt, hors-sujet. Enoncer des faits, aussi accablants soient-ils, ne convaincra jamais un communiste : comme tout utopiste, le communiste est hermétique au principe de réalité.
Donc, en particulier, à l’altérité.
D’où l’inhumanité des lecteurs de l’Humanité.
Ils sont hermétiques à la réalité car ils nient les différences des gens et du monde.Ils sont dans l'indifferentiation. Alors que nous sommes tous différents et nous devons le rester pour être complémentaires.Le communisme est une religion sans dieu.L'homme devient tout pour l'homme. Il ne croit qu'en lui.Autant dire que ce monde là devient vite vain et infantile. Pourquoi certains veulent ils encore un tel monde ? Sans transcendance. Sans espérance. Sans Dieu. C'est peut-être de la paresse ou de l'impatience. Et le délire du progressisme c'est de créer un homme nouveau qui fasse table rase de la société classique. Tout comme le communisme et le nazisme.
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Le coco c'est comme l'animal malpropre: il faut lui maintenir la tête dedans dès que l'occasion se présente; ses idées nous ont volé le 20éme siècle et sont en grande partie responsables de la situation dans laquelle se trouve l'Occident actuellement, qui a connu ces deux derniers siècles plus de marxisme que de libéralisme en branche. Il ne faut pas qu'ils oublient tout cela, jamais. Jusque dans les chiottes.
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Voilà qui est dit, et bien dit. Bravo.
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Bien décrit, mais plus généralement il est vain de débattre ou de discuter avec quiconque demeure enfermé dans une foi sans même le savoir lui-même : gauchistes certes mais beaucoup d'autres, écologistes, transhumanistes, libéraux, athéistes (et non « athées » tout court), féministes, « racisés », musulmans, etc.Il ne faut jamais répondre, se justifier, argumenter, demander pardon.Je pense que cette attitude aussi simple que puissante est la seule qui permettra peut-être d'écraser nos innombrables ennemis : penser, dire, faire et être ce que l'on est, droit dans ses bottes, sans aucune considération pour l'avis des trous de balle.De toute façon et c'est valable pour tout le monde dans la vie, on ne change et ne convainc jamais personne : seul un travail personnel, exigeant et long, permet une évolution. Dès lors il convient de se beurrer la raie du qu'en-dira-t-on et d'avancer droit devant tel un rouleau compresseur.
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C'est pas pour autant que le capitalisme doit nous foutre dans la merde…
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Si vous me lisez, vous savez que je n'ai aucune tendresse pour ce capitalisme. Mais ce n'est pas parce que nous vivons en temps de peste que nous devons regretter le choléra… D'ailleurs, Bernanos avait tout annoncé dès 1947 : « Tout homme qui pense a compris que capitalisme et communisme s'opposent plus économiquement qu'idéologiquement »
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Dans un monde de Banques Centrales, d'Etats-Providence, de FMI, de médias subventionné, de syndicats qui ne le sont pas moins, de FED, de ministères pléthoriques tout saufs régaliens, de monopoles, de politiques gouvernementales interventionnistes foutant un joyeux bordel dans les marchés financiers en employant ensuite tout l'arsenal médiatique pour leur faire porter le chapeau (ex: 2008), de sozial à toutes les sauces etc… Je ne suis pas sûr qu'on puisse parler de capitalisme. En fait je pense que depuis la création de la FED (qui s'est échauffée en provoquant par son interventionnisme la crise de 1929) l'Occident a rompu avec le capitalisme. Marx a lancé l'idée de Banque Centrale dans le Manifeste du PC.
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