« Il n’y a de grand parmi les hommes que le poète, le prêtre et le soldat. L’homme qui chante, l’homme qui bénit, l’homme qui sacrifie et se sacrifie. Le reste est fait pour le fouet. » Cette phrase n’a jamais été aussi appropriée, même si j’entends bien que Baudelaire ne parlait pas, lui, du fouet islamique…
Ce qui rend insoutenable le sacrifice de ces héros, c’est qu’ils sont morts pour un pays qui ne veut plus vivre.

Ce n'est pas tout le pays qui ne veut plus vivre, c'est la mafia armée au pouvoir qui le tue avec la complicité passive d'une majorité d'abrutis incapables de voir le monde tel qu'il est. Seulement, c'est toujours le nombre qui l'emporte. Toujours. Alors de grâce, « Pas d'amalgame », comme ils disent ! 🙂
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Oui. Le poète le prêtre et le soldat ont une dimension spirituelle. Ils ne vivent pas pour « consommer ». Ils ont une âme et ils s'en servent. C'est en mourant pour la patrie qu'ils font revivre la France. Paix éternelle à leurs âmes.
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L'anonyme de 18h46 a totalement raison, le pays réel et sa jeunesse a une volonté de vivre qui m'impressionne au regards des obstacles qu'elle rencontre à chaque instant, mais il ne faut surtout pas que ça se sache… Cette adversité disproportionnée est peut-être vraiment une « chance pour la France », un feu qui carbonisera certains, mais dont d'autres sortiront l'âme et l'esprit forgés et renforcés. Après tout, la décadence guette celui qui n'a plus de combats à mener…Ces braves ne seront pas morts en vain.
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