La « civilisation des droits de l’homme » est une contradiction dans les termes. Une antinomie. Un oxymore.
Il n’est de civilisation que des devoirs de l’homme.
« Droits de l’homme » est une locution ronflante pour « caprices ». Pour refus des contraintes. Pour règne sans partage du principe de plaisir.
Derrière « droits de l’homme », il faut entendre « caprices du bébé ». Donc stérilité. Donc effondrement.
C’est ce qui arrive à l’Occident puérilisé, n’ayant plus comme fierté que son hochet des droits de l’homme.
C’est ce qui arrive à l’Occident puérilisé, n’ayant plus comme fierté que son hochet des droits de l’homme.
En privant l’homme de contraintes, l’idéologie des droits de l’homme empêche celui-ci de grandir et, précisément, de devenir un homme.
L’idéologie des droits de l’homme assigne l’homme au berceau : l’idéologie des droits de l’homme est le tombeau de l’homme.
L’idéologie des droits de l’homme assigne l’homme au berceau : l’idéologie des droits de l’homme est le tombeau de l’homme.
« déclaration des droits de l'homme, cette préface criminelle d'un livre impossible », écrivait fort bien un Grand Ancien (De la philosophie moderne). 😉
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L'individu consommateur est en effet exclusivement motivé par la promesse du plaisir, du ludique, du « fun », de la facilité (« en un clic… »). Il est incapable de supporter la moindre contrariété, la moindre contrainte – depuis les banales contraintes matérielles d'une simple attente jusqu'aux contraintes essentielles liées à la condition humaine (l'altérité, la différenciation des sexes, la mort). Sa vie est celle d'un enfant à la fois gâté et (donc) frustré, l'enfant-roi se heurtant en permanence à d'autres enfants-rois, sans règles supérieures où ils pourraient se reconnaître une commune appartenance.
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