Il y longtemps que la Ville lumière s’est éteinte.
Mois septembre 2025
La vie du pervers est un grand évitement.
Il n’approchera jamais de la vérité, celui qui a pour guide la seule raison.
Les Lumières envoient l’Europe en enfer.
L’Apocalypse selon Saint Giec
Ce qui est intéressant dans le discours climatosceptique de Trump, ce n’est pas le discours climatosceptique de Trump. Ce n’est même pas que le scepticisme, antonyme de la crédulité et donc modalité essentielle de l’intelligence, soit devenu une tare, et les climatocrédules des modèles à suivre. Ce qui est intéressant dans le discours climatosceptique de Trump, c’est la réaction de ses contradicteurs. Lesquels, précisément, n’articulent pas de contradiction. Mais s’indignent. Se scandalisent. Roulent des yeux effarés. Hurlent au blasphémateur. Et révèlent par là leur obscurantisme. Que leur pensée est une foi. Dénuée de toute exigence de rationalité, et a fortiori de cohérence. Avez-vous déjà vu un fidèle de l’Église écologiste expliquer pourquoi les scénarios apocalyptiques que son clergé annonce tous les 2 ans pour dans 20 ans depuis 80 ans ne se produisent jamais ? Avez-vous déjà entendu un éolâtre se prononcer sur l’énorme problème écologique que posent les éoliennes en fin de vie ? Et les panneaux solaires ? Bien sûr que non : hors de l’Apocalypse selon Saint Giec, ces gens ne connaissent rien. En conséquence de quoi tout ce qui contredit les Évangiles selon Saint Giec est non pas examiné, mais mis à l’Index. Et ses propagateurs traités comme les blasphémateurs qu’ils sont. Trump est un blasphémateur. Il a cru, ce naïf, qu’avec des arguments, des raisonnements et une attitude dialectique, il pourrait infléchir la pensée de son auditoire. Mais son auditoire n’avait pas de pensée : il n’avait que des dogmes. Et on n’argumente pas contre des dogmes – ni pour, d’ailleurs. On ne conteste pas une foi avec des raisonnements. Face à ce qui relève du sacré, l’attitude dialectique n’est pas seulement inutile : elle est hors sujet. C’est cela, et uniquement cela, qui s’exprime ce matin dans les bulletins paroissiaux de l’Église écologiste – je veux dire les journaux –, et dans les bouches hurleuses de ses millions de dévots. Avec un tel troupeau de têtes superstitieuses, le clergé écologiste peut dormir tranquille : il n’a pas fini de s’enrichir. Ni la planète de s’enlaidir.
Contre l’immigration, il n’y a qu’une solution : les charters. De boomers.
Entre Charlie Kirk et le Hamas, les Lumières ont choisi.
Révélateur
L’homme des Lumières se sent infiniment plus proche d’un islamiste palestinien que de Charlie Kirk – qu’il déteste… Et rien n’est plus normal : les Lumières et l’Islam ont le même ennemi. Ils servent le même Maître.
Demandez à un homme des Lumières s’il préfère un djihadiste à Charlie Kirk. Guettez sa réaction – je ne parle même pas de sa réponse. Vous verrez toute l’horreur de son âme pourrie. Et vous comprendrez que les Lumières sont l’abomination suprême.
Le pardon et ses contrefaçons
La haine est une chaîne. La soif de vengeance est une dépendance. Il vous domine encore, celui qui vous remplit d’aigreur et de ressentiment : le mal qu’il vous a fait se prolonge sous la forme de votre colère. Double effet du Mal. Injustice au carré… Il n’y a qu’un moyen de mettre fin à cette injustice : c’est de pardonner. Pardonner, c’est se libérer. C’est se délivrer de l’emprise du bourreau. Pardonner ce n’est pas oublier, ce n’est pas minimiser, et ce n’est surtout pas capituler devant le Mal : c’est refuser qu’il nous inspire dans le combat contre le Mal. Car qui servirions-nous, dans cette embrouille rageuse ; et que croyons-nous qu’il en résulterait ?… Le vrai combat contre le Mal commence par l’expulsion du Mal de soi : le vrai combat contre le Mal commence par le pardon. Le vrai pardon. Pas ses contrefaçons, qui sont hélas légion dans ce monde aux mains du Prince des contrefaçons… “Vous n’aurez pas ma haine”, par exemple, n’a jamais voulu dire “Vous n’aurez pas ma haine”, mais toujours “Vous n’aurez pas mon combat”. Les actes l’ont prouvé… Les rampants magnifiques qui, après le Bataclan, se sont narcissiquement grisés de proclamer “Vous n’aurez pas ma haine” n’ont jamais pardonné : ils ont capitulé. Leur prétendu pardon n’était qu’une complaisance pour le Mal. Une incitation au Mal. Il était donc l’antithèse du pardon d’Erika Kirk, qui lui est assorti d’une promesse de combat. Le pardon authentique procède de courage et de grandeur d’âme ; le pardon postiche des progressistes est le masque de leur lâcheté, de leur bassesse, et de leur secrète connivence avec leurs bourreaux. Bref, de leur allégeance au Mal. Et voilà pourquoi contrairement aux djihadistes, Charlie Kirk a leur haine.