Génocide, viols de femmes enceintes par des dizaines de bons républicains (suivis de leur éventrement à la baïonnette), empalements d’enfants, noyades de masse, rituels de décapitation (place de la Concorde…) et, face à de tels traumas, dissociation. Puis transmission intergénérationnelle de l’amnésie traumatique : la Révolution française a transformé l’un des peuples les plus sensibles de l’Histoire en grouillement de pervers. Cette mutation psychique explique tout ; nous n’en parlons jamais. Et rien n’est plus normal : le pervers fuit l’introspection. Et couvre de sarcasmes tout discours révélant ses traumas…