Le fact-checking repose sur un principe simple : au motif que les faits ou les chiffres allégués ne sont pas exacts au détail ou à la virgule près, la conclusion qu’on en tire est fausse. C’est très grossier. Ça marche à tous les coups. C’est qu’en dignes héritiers de Goebbels, les fact-checkers « travaillent » selon un principe simple : plus c’est gros, plus ça passe.