Chronique d'une époque de nains

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1. En effet,

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2. En effet, le progressiste est un vilain et misérable petit perroquet.Il répète de manière péremptoire, les poncifs,les slogans, les expressions de la doxa officielle. Hormis son langage standardisé, sa vision courte pour ne pas dire inexistante, il est incapable de sortir de sa zone de confort . Il se gargarise donc de mots creux, de concepts foireux,régurgite les tartes à la crème anticatholiques,tout en effaçant les boucheries, carnages, actes de barbarie que son idéologie a produit: la Révolution dite française, le communisme, le modernisme…..

   Il est vrai que le progressiste est dans état permanent de mort cérébrale, ou de régression mentale,c’est le fou des Temps modernes incapable de voir où le conduit son idéologie. Il croît, dur comme fer à toute la propagande …..

   Bref, le progressiste gobe tout de la philosophie dominante construite sur du sable mouvant avec son jargon ridicule mais cela lui donne,du moins à ses yeux, une sorte de « vernis culturel » sans aucun effort.

   C’est pourquoi, après avoir répété ,tel un perroquet, la doxa officielle, après s’être gargarisé de concepts foireux, après avoir régurgité les mêmes poncifs, après avoir gobé toute la mélasse droitdel’hommiste etc…… Voilà notre dégoûtant et affreux perroquet complètement englué dans une pensée tordue propre à l’esprit faux.

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