Pour comprendre le nazisme, le communisme, et la barbarie chaque jour plus visible du progressisme, il faut remonter à la source : regardez comment a commencé le règne des Lumières, et tout s’éclaircira…
Mois juin 2024
Fuir la paix des cimetières
Ce n’est pas grave, la contradiction. Ce n’est pas grave, d’être en désaccord. Et ce n’est même pas grave de s’engueuler. Ce qui est grave, c’est d’être un clone. De fuir le désaccord. Ce qui est grave, c’est de faire de sa « vie » un long croupissement dans la médiocrité conformiste (pléonasme). Pour avoir la paix. La paix des cimetières. La paix des cimetières de l’intelligence et de la liberté. Ce qui est grave, c’est de ne pas oser parler. Car alors, très vite, on n’ose plus penser : on n’ose plus être soi. Quand on abdique sa liberté d’expression, c’est fatalement la liberté qui capitule. Et quelle est la saveur d’une vie sans liberté ? Quel est le sens d’une vie sans liberté ?
L’Internazionale mondialiste
Le moment se rapproche où tous comprendront que le progressisme est le mariage du communisme et du nazisme. Le mondialisme est le triomphe de l’Internazionale.
« Je ne vous trahirai pas » : voilà l’archétype de l’antiphrase politique. Vous êtes prévenus…
S’ils prenaient le temps d’y réfléchir, ce que les abrutis appellent mon fatalisme leur prodiguerait infiniment plus d’espoir que leur optimisme, cette imposture.
Le résistant d’isoloir est l’archétype du collabo.