Un peuple qui met Zemmour à 7% et offre une carrière à Darmanin est arrivé au bout de la démence. Il n’a plus aucune légitimité à poursuivre l’Histoire. Pour l’honneur de l’humanité, il doit disparaître. D’ailleurs, il fait tout pour. L’Histoire est bien faite.

Un piège mortel nommé UE

Sans sortie de l’UE, Bardella ne peut rien faire de différent d’Attal.
Sans sortie de l’UE, Bardella se retrouve comptable du chaos qui vient – chaos inéluctable, intrinsèque à l’UE.
Sans sortie de l’UE, la cohabitation est un suicide. Macron le sait. Très bien. Macron est un excellent judoka. Et sa « défaite » un triomphe. D’ailleurs, lui et Attal n’ont pas choisi la piètre Valérie Hayer par hasard. Cette ingénue dont le visage, à l’issue de son furtif discours de défaite, signalait qu’elle venait de comprendre… cette jolie libellule éblouie par l’éphémère soleil médiatique et qui, retournée au néant, a désormais tout le temps de méditer sur l’odieuse manipulation dont elle a été la dupe. Et d’essayer de guérir des formidables humiliations que lui ont infligées ces monstres de cynisme et de perversité. Pour sa consolation, elle n’est pas la première. Ni la dernière.

Les moutons érudits

L’Histoire se répète : de nouveau, un peuple va porter au pouvoir le Rassemblement national socialiste. Et ceux qui ne veulent pas comprendre que Bardella, c’est Hitler en pire, je les invite à suivre comme moi les cours d’Histoire du Monde et de Libé : contre la propagande, le savoir est une arme.