S’ils prenaient le temps d’y réfléchir, ce que les abrutis appellent mon fatalisme leur prodiguerait infiniment plus d’espoir que leur optimisme, cette imposture.
S’ils prenaient le temps d’y réfléchir, ce que les abrutis appellent mon fatalisme leur prodiguerait infiniment plus d’espoir que leur optimisme, cette imposture.