L’Homme est toujours pressé de donner son avis ; beaucoup moins de comprendre.

Aya Nakamura est comme la France : à pleurer de médiocrité et de vulgarité. Mais les patriotes qui la conchient tout en glorifiant l’hymne national devraient s’aviser que musicalement et littérairement, la Marseillaise ne vaut pas mieux qu’un tube d’Aya Nakamura ; et qu’Aya Nakamura, elle, n’a pas guillotiné ses opposants idéologiques. Ni génocidé les Vendéens. Qui est assez dénué de goût pour aimer la Marseillaise ne peut que préférer Aya Nakamura : elle, au moins, est innocente.

1984, c’est 1793. Et c’est 2024.

Jadis, l’Homme croyait en Dieu ; aujourd’hui, il croit aux fact-checkers.

Je n’avais jamais vu un manchot jongler. C’est fait.

Et merci également à « frederic47c8ed0a75″… Infiniment.

Nicolas

« aprickd57d409135 », MERCI. Votre geste me conforte dans l’idée que mes écrits peuvent émouvoir, et que je ne dois pas arrêter… Merci encore, infiniment.

Nicolas

À force de ramper, l’Occidental n’est sans doute plus capable de vivre debout. Cette position résume son très glorieux destin : crever. Il ne tombera pas de haut.

Le progressisme, c’est le Mal qui parle le langage du Bien : le monde progressiste est un monde orwellien. D’ailleurs, les féministes haïssent les princes charmants, mais elles aiment beaucoup les violeurs djihadistes. Walt Disney ce salaud, le Hamas ces héros.

Le progressisme, c’est la destruction du catholicisme. Et ce n’est rien d’autre.