
Si l’Homme préhistorique avait pensé ainsi, nous vivrions encore dans des grottes. L’Homme qui fuit le risque aussi fanatiquement n’est plus en mesure de produire quoi que ce soit. Sa vie n’est qu’une longue mort. Le refus du risque est le propre des morts-vivants.
c’est vrai mais avec la judiciarisation de la vie, si une branche tombe sur un passant, il y aura plainte contre la mairie avec demande de 100000 euros de dédommagement
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Alors « pas le choix » ? En allant par là, c’est illimité, c’est bien la direction prise d’ailleurs, contrôler absolument tout risque c’est-à-dire contrôler la vie, la mort… Immense sujet que la sécurité versus la liberté…
Il y a toujours le choix, pour cet exemple précis du jardin public, cette merveilleuse mairie aurait pu mettre un message pour avertir qu’en cas de vent fort, des branches peuvent dangereusement tomber (scoop) et qu’elle décline toute responsabilité dans ce cas, laissant ainsi à chacun la liberté de choisir pour lui-même et d’évaluer, par lui-même, son rapport bénéfice/risque. Responsabilité individuelle. La base.
Sur ce, bonne journée :).
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J’y pense chaque fois que je vois un enfant habillé en cosmonaute pour faire du vélo.
La femme donne la vie puis l’étouffe et provoque la mort. Le matriarcat est mortifère. Il faut l’homme pour apporter la liberté.
L’homme et la femme sont complémentaires. Etonnant, non ?
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