Aya Nakamura est comme la France : à pleurer de médiocrité et de vulgarité. Mais les patriotes qui la conchient tout en glorifiant l’hymne national devraient s’aviser que musicalement et littérairement, la Marseillaise ne vaut pas mieux qu’un tube d’Aya Nakamura ; et qu’Aya Nakamura, elle, n’a pas guillotiné ses opposants idéologiques. Ni génocidé les Vendéens. Qui est assez dénué de goût pour aimer la Marseillaise ne peut que préférer Aya Nakamura : elle, au moins, est innocente.