Nihilisme occidental, suite et fin

Et maintenant, la guerre. Une guerre absurde, ne reposant sur rien sinon sur un nœud de mensonges. Une guerre de pervers. Une guerre de nihilistes. Une guerre d’Occidentaux. Qui sera l’atroce bouquet final des abjectes Lumières. Car les Lumières sont carnivores. Il leur faut de la chair, et de la bien saignante. Du génocide des Vendéens aux deux boucheries mondiales, il faut vraiment être le dernier des demi-trisomiques trépanés pour ne toujours pas avoir réalisé que les Lumières sont un principe de barbarie totale. Qu’elles portent en elles la mort et la désolation, puis l’autodestruction. L’Occident périra du nihilisme intrinsèque à ses chères Lumières. Il périra d’avoir détruit la plus belle, la plus douce et la plus joyeuse civilisation qui ait jamais vu le jour : la civilisation catholique, et de l’avoir ensevelie sous des torrents de laideur, de bêtise et de tristesse. L’Occident périra par où il a péché.