Le combat sera rude, solitaire, et ingrat : il faut être aveugle et sourd pour ignorer que le Français moyen est déjà un dhimmi.

Il existe une très légère, oh, presque infime différence entre l’homme exemplaire de l’islam, et celui du catholicisme : Mahomet tue, Jésus est tué. Mahomet torture, Jésus est torturé. Nuance très dérisoire, certes ; mais nuance qui, relative au modèle à suivre pour être un bon croyant, n’est peut-être pas sans lien avec les très légères nuances entre le bilan de l’islam et celui du catholicisme.

Le donneur d’ordre est-il plus, ou moins coupable que l’exécutant ? Hitler est-il plus, ou moins coupable que ses kapos ? Le commanditaire d’un assassinat est-il plus, ou moins coupable que le tueur à gages ? Un père qui jette sa fille en pâture à des pédophiles est-il plus, ou moins coupable de son calvaire que ces derniers ? Un peuple qui jette ses enfants en pâture à des racailles est-il plus, ou moins coupable de leur supplice que ces dernières ?

Le vote Jean Moulin tue.

Le Progressisme, c’est la transformation de l’Europe chrétienne en Europe algérienne.

Le peuple français offre ses enfants en pâture à des racailles. Il appelle ça lutter contre le fascisme.

Le Beau, c’est Dieu qui parle à travers l’Homme. Voilà pourquoi l’Europe des Lumières est un désert artistique. Et un enfer esthétique.

Les racailles ne sont pas des Français de papier : ce sont des Français de vote Jean Moulin.

Le vrai Grand remplacement, c’est celui du catholicisme par les Lumières. C’est lui qui a détruit le cœur, la joie et la beauté de l’Homme d’Occident. Tout le reste, depuis, n’est qu’atroces turpitudes d’une longue agonie.

Le Beau, c’est Dieu qui parle à travers l’Homme. Qui sait voir, ne peut que croire.