Ceux qui condamnent la brutalité de mon style et la violence de mes critiques envers le peuple français, plaidant pour réveiller « en douceur » ce bétail au seuil de l’abattoir, ont-ils vraiment pris conscience de l’urgence ? S’il y a bien une leçon à tirer de l’état de la France, c’est qu’en rejetant la violence d’une parole de vérité, l’Homme pave la voie à une violence bien plus terrible.
Ceux qui condamnent la brutalité de votre style manquent de remarquer que vous portez ma parole.
Souvenez-vous des lecteurs qui vous entourent.
Cela ne change (presque) rien au réel, j’en suis fort triste. Nous sommes isolés, désarmés, vaincus par nos ennemis, mis en esclavage par nos parents lâches et ignorants et nos voisins gauchistes au grand coeur.
Pour l’instant.
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