Tout djihadocollabo – pardon, tout humaniste cultivé, profond et clairvoyant soutenant intelligemment la cause palestinienne – doit bien avoir en tête que la vie d’un infidèle ne vaut rien, pour ses protégés islamistes. Lesquels, par conséquent, ne lui sauront aucun gré de sa naïveté ; tout au contraire, ils en tireront un surcroît de mépris…

Au XVIIème siècle, certains faisaient de la prose sans le savoir. Aujourd’hui, certains font du djihadisme sans le savoir. Je parle de ces Occidentaux finasseurs et pervers qui, malgré les preuves et les explications, refusent toujours d’entendre que la cause palestinienne, c’est le Djihad. Et que ce n’est rien d’autre. Je parle de ces pitres ethnocentrés dont les seuls arguments s’appellent niaiseries grandiloquentes. Pleurnicheries ostentatoires. Exhibition obscène de leur pathos infâme. Mais qui veut faire l’ange fait la bête… XVIIème siècle, tiens… Ces philanthropes en PQ sont les complices objectifs de la pire barbarie : ils sont les compagnons de route du Djihad.

Les pervers orwelliens ont encore frappé : Twitter n’a jamais été aussi vivant qu’en ce « No Twitter Day ». Leur « No Twitter Day » est LE Twitter Day. Orwell, toujours… Orwell, saint patron des fact-checkers. Saint patron des progressistes. Saint patron des pervers.

Pour que Twitter cesse d’être une fosse septique, les étrons ont décidé d’en sortir. Mission accomplie. On respire.

Mise à jour d’expression : on ne dit plus « Long comme un jour sans pain », mais « Jouissif comme un jour sans Pain ».

Le #NoTwitterDay est pour les fact-checkers un jour d’humiliation dans une vie de reptation.

Le totalitarisme, c’est la bêtise qui terrorise l’intelligence. Le fact-checking est l’archétype du totalitarisme.

Pour que Twitter cesse d’être une fosse septique, les étrons décident d’en sortir.

Au lieu de mettre un terme à leur théâtre antifasciste grotesque autant qu’abject, les collabos de l’islamisation persistent et signent. Stratégie du « J’assume ». Mais nous ne sommes pas dupes…

La charité qui mène à consentir au Mal n’est pas la charité.