
Pour tous les collabos de l’islamisation, le hurleur Mélenchon est une divine surprise. Tous les boomers, bobos, Naulleau et autres charlatans de l’humanisme qui, en jouant à Jean Moulin dans l’isoloir, ont pavé la route au pire des totalitarismes, tous ces kabouliseurs de la France ont trouvé en Mélenchon un moyen bien commode de faire oublier leur crime. Une fois la France tuée par leurs votes nihilistes, ils lui foutent le couteau dans les mains, au pauvre Mélenchon, puis ils lui gueulent dessus avec une fureur dingue. Comprenons-les : leur rage ostentatoire contre l’affreux Jean-Luc est à la mesure de leur colossale culpabilité. Et de leur terreur qu’on découvre la vérité : Mélenchon n’est que l’arme du crime. Les criminels, c’est eux. Car leurs jappements étranglés d’indignation factice pour tétaniser l’analyse et étouffer la vérité n’y changeront rien : ce n’est pas Mélenchon, mais les boomers, les bobos, les Naulleau et tous les résistants d’isoloir qui ont kaboulisé la France. Et portent à jamais la culpabilité des horreurs qui viennent.