L’Église progressiste

Le « débat » avec un progressiste est immanquablement voué à la stérilité : on n’argumente pas contre des dogmes — ni pour, d’ailleurs. On ne conteste pas une foi avec des raisonnements. Face à ce qui relève du sacré, l’attitude dialectique n’est pas seulement inutile : elle est hors-sujet.

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