
Il faut choisir : faire barrage à l’extrême droite, ou aux punaises de lit. Les résistants se grattent.

Il faut choisir : faire barrage à l’extrême droite, ou aux punaises de lit. Les résistants se grattent.

Acteur, ça rime avec penseur. Mais c’est juste une rime.
Qu’attendre de quelqu’un dont la vision du monde est façonnée par des journalistes ?
Quand les Français auront fini de geindre sur l’islamisation de leur pays, ils pourront commencer à réfléchir. Et, par exemple, se demander pourquoi ces musulmans sont en France.
« La 30ème dose sera la bonne. Amen. » Parole d’Homme des Lumières. D’esprit logique. Cartésien. Rationnel. Enfin émancipé du niais obscurantisme et des sottes superstitions qui rendaient l’Homme d’antan stupide et ridicule. Contrairement à l’Homme des Lumières, cet esprit vif et distingué avec ses yeux épouvantés de bétail imbécile qui dépassent de son masque. Bien haut sur le nez, hein, le masque. Car le vaccin protège.
L’élite du progressisme ovationne un nazi.
L’élite du progressisme finance, arme et glorifie des bataillons de nazis.
À ce stade de l’Histoire, il serait peut-être temps de se poser quelques questions… de se demander de quelle manipulation on a été dupe… d’ouvrir enfin les yeux sur la nature du progressisme. Bref, de mettre à jour son système de représentation. Pour réaliser de quelles forces lugubres l’Occident est la proie. Et tenter d’enrayer leurs funestes desseins. S’il est encore temps…
Une méthode simple mais efficace pour éloigner de soi tout soupçon de sympathies nazies, c’est de hurler 24 24 au retour des heures les plus sombres de notre Histoire, de pleurnicher ostentatoirement devant La liste de Schindler et de nazifier Le Pen. On peut ainsi tromper son monde pendant de longues années. Voire des décennies… Mais on ne peut éternellement camoufler sa nature : tôt ou tard, on commet une gaffe qui fait tomber le masque. C’est ce qui est en train d’arriver aux grands prêtres de l’Église progressiste qui, depuis quarante ans, nous enculent les oreilles avec leurs Valeurs, leur République et puis leurs Droits de l’Homme, et saturent nos cerveaux de moraline toxique. Mais ces acrobates de l’entourloupe ont fini par commettre la gaffe. Rétamés comme des cons. Leurs masques sont à terre. Le temps qu’ils les ramassent, on peut donc enfin voir leurs immondes gueules verdâtres. Leurs grimaces répugnantes de crapules intégrales. Avec leurs petites staches à la mode d’Adolf.
Plus qu’à se demander, derrière la comédie, les arguties spongieuses et la propagande poisseuse, ce qu’est le progressisme…

Les Lumières détruisent l’âme, le souffle, l’énergie vitale. Là réside l’unique cause de la grande dépression occidentale.
Ce que les féministes nomment émancipation de la femme, c’est la soumission de la femme à leur programme de rééducation. Dans l’enchanteur monde féministe – ce havre de douceur, de tolérance et de bienveillance (vous aussi vous avez remarqué ?) -, les femmes sont libres de leurs choix tant que leurs choix coïncident avec les injonctions féministes. Faute de beaux bébés, les féministes ont ainsi accouché d’un sympathique concept : l’émancipation contrôlée. Orwell, always.
Votre prudence n’est que lâcheté.