Le remède s’appelle vie intérieure

Cet enfer est précaire. Ce cauchemar tient à rien. Ce monde abominable qu’est l’Occident des Lumières ne repose que sur l’absence de vie intérieure de l’immense bétail humain. Que chacun réalise que dans le monde des Droits de l’Homme, il n’est qu’un tas de viande. Que chacun cesse d’errer et se pose la question : « Quelle est l’ambition existentielle, quel est le sens d’une « vie » progressiste ? » ; tout s’effondrera.

2 commentaires sur « Le remède s’appelle vie intérieure »

  1. L’homme moyen a-t-il encore seulement la possibilité d’avoir une vie intérieure ? Le mauvais génie du progressisme est d’avoir éteint toute aptitude à la conscience. Les algorithmes nous tiennent lieu de goût tandis que nos profils en ligne nous tiennent lieu de vie intime… Notre errance consiste en une consommation frénétique qui nous dispense de penser.

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