Communisme, progressisme, totalitarisme

Il y a un siècle, Lénine recrutait des bataillons de racailles cocaïnomanes pour esquinter les opposants à son radieux régime communiste. Un régime communiste que Lénine concevait explicitement comme un décalque du premier totalitarisme de l’Histoire : le totalitarisme des Lumières (et son bienveillant génocide au nom des Droits de l’Homme — Orwell n’a rien inventé : 1984, c’est 1793). Il est désormais clair qu’après ce détour par l’Est, le totalitarisme français est de retour au bercail. Sous un nouveau nom orwellien : progressisme. Mais avec aux commandes, si l’on peut dire, les mêmes individus. Les mêmes tarés drogués, impulsifs et sadiques.

PS : Le manichéisme est une tragédie… Le manichéisme est père de toutes les tragédies. Aussi que les choses soient claires : on peut soutenir la police en général, et condamner certaines unités de cogneurs fous. On peut ne pas être un antifa demeuré (pléonasme) rugissant ACAB, et s’interroger sur les visages et les psychologies qu’abritent certains casques, dont le comportement évoque furieusement des racailles… ce depuis au moins la Manif pour Tous et ses poussettes gazées… On peut se demander sur quels critères ces grands malades sont recrutés. Quelles directives (et quelles substances) leur sont données… Surtout si l’on observe attentivement le régime en place… et que l’on prend conscience de sa nature…

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