Cinquante nuances de nihilisme

Comme toutes les idéologies qu’engendre l’Occident post-catholique (communisme, nazisme, fascisme, antiracisme, européisme, multiculturalisme, féminisme), la théorie du genre est une théorie autodestructrice : il suffit de la mettre en œuvre pour qu’elle démontre sa fausseté. Cf. les performances des transgenres dans les compétitions féminines.

Le problème étant que comme toutes les idéologies qu’engendre l’Occident post-catholique (communisme, nazisme, fascisme, antiracisme, européisme, multiculturalisme, féminisme), la théorie du genre est également une théorie destructrice. Qui, avant d’être pleinement disqualifiée et de rejoindre sa destination naturelle : les poubelles de l’Histoire, produira des ravages incalculables. Et laissera des cicatrices durables.

2 commentaires sur « Cinquante nuances de nihilisme »

  1. C'est encore une perfidie Orwellienne que de faire passer la déconstruction du genre pour la  » Théorie du genre « .Je connais un vrai livre sur la théorie du genre, c'est  » le Genre Vernaculaire  » d'Ivan Illitch, c'est-à-dire la complémentarité énigmatique et asymétrique  » spécifique à un pays, à un temps et à un lieu donnés, qui noue les relations entre hommes et femmes, dans les sociétés non-capitalistes et non industrielles…

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