On leur a présenté Macron comme un Mozart de l’économie ; les Français ont pâmé. Sans s’aviser que par temps d’art contemporain, il est toujours prudent de se méfier des Mozart.
Le « Mozart de la finance », le virtuose de la « pensée complexe » nous a donc valu :(1) l'inflation la plus élevée depuis 37 ans (c'est-à-dire depuis Mitterrand : Macron est au moins resté socialiste sur ce point)(2) une dette record(3) un déficit commercial record.Il fallait effectivement être un génie pour échouer aussi brillamment.Ce qui ne l'empêche pas de continuer à jouer le rôle de l'expert, du sachant et du technicien surdoué et de traiter toute critique avec la lippe dédaigneuse et le regard las où les plus anciens d'entre nous retrouvent Giscard, dit « Sa Suffisance ».
Le « Mozart de la finance », le virtuose de la « pensée complexe » nous a donc valu :(1) l'inflation la plus élevée depuis 37 ans (c'est-à-dire depuis Mitterrand : Macron est au moins resté socialiste sur ce point)(2) une dette record(3) un déficit commercial record.Il fallait effectivement être un génie pour échouer aussi brillamment.Ce qui ne l'empêche pas de continuer à jouer le rôle de l'expert, du sachant et du technicien surdoué et de traiter toute critique avec la lippe dédaigneuse et le regard las où les plus anciens d'entre nous retrouvent Giscard, dit « Sa Suffisance ».
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