Délire complotiste

 Le Covid est un virus qui présente 0,05 % de chances de tuer celui qui l’attrape ; et qui, dans la plupart des cas, ne provoque aucun symptôme.

Il n’y a donc aucune justification sanitaire au calvaire que les gouvernants font subir à leurs administrés. Aussi, il reste trois explications : 

1. Nos gouvernants nous haïssent ;

2. Nos gouvernants nous méprisent ;

3. Nos gouvernants veulent nous faire souffrir au point que même les plus fougueux réfractaires au vaccin finissent par l’implorer, si c’est le seul moyen de mettre fin à ce supplice.

Les trois explications ne sont pas incompatibles (la 2. et la 3. vont d’ailleurs ensemble).

Toutes trois présentent l’avantage de démasquer les néo-bas du front : ces anémiés du cervelet qui, incapables de réfléchir à un discours qui diverge de leur catéchisme médiatique, ne savent qu’y faire une réponse aussi courte que leur pensée : « Complotiste! » 

2 commentaires sur « Délire complotiste »

  1. Merci pour cette percutante synthèse covidienne.Personnellement, je commence à souffrir psychiquement de la nasse dans laquelle les sachants nous ont fourrés. Perte de mon activité, insupportable psychose qui a saisi beaucoup de gens de mon entourage. La méditation et la spiritualité m'aident, mais c'est dur quand même.Saint François, dégouté par les lépreux, a fait un jour l'effort d'en approcher un pour lui faire la charité et lui embrasser la main. Il en a été tellement ému qu'ensuite il a fini par aller régulièrement leur rendre visite.Pour donner un sens à ma vie sans activité, presque sans vie sociale, qu'on m'indique où je pourrais rencontrer les lépreux, pardon les covidiens, j'irai les embrasser, leur remonter le moral, je n'ai rien à perdre. Merci de votre aide.

    J’aime

  2. Chère Madame,Je vous prie de croire à ma compassion, même si je suis très malhabile à écrire dans ce registre.Faute de covidiens, je vous recommande Céline, Baudelaire, Molière, Bernanos, Oscar Wilde et Philippe Muray. Et Mozart, bien sûr. Toujours Mozart. Mozart qui, exacte antithèse de l'humanité actuelle (et disparaissant en même temps que l'Ancien régime — comprennent ceux qui ne sont pas hermétiques au mystère), s'était donné pour mission « d'étendre la joie au détriment de la tristesse ». Une dernière fois. Avant que l'Occident entre en enfer, c'est-à-dire dans la vie sans Dieu. Mozart, qui a réussi. Si, si. Écoutez attentivement, vous verrez.

    J’aime

Laisser un commentaire