Il n'y aura pas de guerre civile

L’islam viendra combler — du moins en partie — la place laissée vacante depuis le départ du catholicisme. Pour le meilleur, et pour le pire… Et il n’y aura pas de résistance. Donc pas de guerre civile. Car nous n’avons rien à défendre. Qui se lèvera pour défendre Paris-Plage, les balades en Segway, la positive attitude et les éco-gestes ? Personne. Et quand bien même il resterait quelque chose à défendre, nous ne sommes plus que des pleutres, des lâches, des enfiottés finis, nous tenons trop à notre petit confort matériel de capitulards planqués : nous nous soumettrons. Nous sommes déjà soumis, si nous observons bien…

Bien sûr, certains gueuleront qu’ils ne veulent pas être musulmans. On peut les comprendre. Mais que veulent-ils être ? Voilà la question, essentielle et terrible, qu’ils ne se posent pas… Car se définir négativement par rapport à cette religion ne suffira pas à lui résister : ne pas vouloir en être ne sera d’aucune utilité face à ses assauts ; seul un vouloir-être ferme et tenace pourra, éventuellement, faire pièce à son expansionnisme.

Or que peut-on vouloir être, de nos jours, dans notre immense civilisation ? Un fier trottinetteur ? Un consommateur d’idolePhone ? Un acteur du développement durable ? Un citoyen du monde ? Un acteur du changement, écoptimiste et écoresponsable ? Ou un papa-poussette (et donc cocu, accessoirement) ? Un consom’acteur ? Quelqu’un qui positive et qui fait des projets ? Qui va dans le sens du progrès ? Qui vit avec son temps (comme tout collabo qui se respecte) ? Un cadre proactif, aimé de ses collègues car il joue collectif ? Ou encore un créateur de start-up ? De joint-venture ? Mieux encore, un business angel ? Un type bien qui se bouge, porteur d’innovations ? Un jogger jaune fluo ? Un blogger influent ? Un twitter-master aux 100 000 followers ? Un fan de Steve Jobs ? Un bon citoyen qui fait émerger des initiatives novatrices, vectrices de cohésion sociale ? Qui construit le vivre-ensemble jour après jour ? Qui s’engage au quotidien contre toute forme de discrimination ? Qui œuvre à changer notre regard sur les différences ? Et qui trie ses déchets pour sauver Mère Nature ? Soyons sérieux…

Extrait de :

Esclavages

 D’un esclavage à l’autre… Des droits de l’homme, ces évangiles du nombrilisme, au Coran, ce code suprême de la soumission, ce sont deux types de chaînes qui sont successivement passées à l’humanité occidentale. Deux façons de piétiner l’homme. De le rabaisser. Deux façons de le dépersonnaliser.

La connivence obscure entre islamisme et progressisme, qui commence à entrer en pleine lumière en ce début de XXIème siècle et deviendra bientôt une évidence pour tous, vient de cette volonté commune de rabougrir l’homme. D’abolir en lui toute idée de grandeur. D’en faire une créature de troupeau primaire, hébétée, vide.

Progressisme et islamisme sont deux visages de la haine de l’homme. Visage angélique, et visage barbare.

(extrait de Des droits de l’homme à la charia)

Fatalité

 Un peuple qui vote systématiquement immigrationniste, non pas depuis un, deux ou trois ans, mais depuis plus de quarante ans ; et qui revotera immigrationniste dans un an et demi ; puis ira pleurnicher comme un enfant en bas-âge que la vie est vraiment trop injuste ; un peuple aussi puéril, stupide et pétochard n’a aucun avenir. C’est sans doute pour cela qu’il organise sa disparition. Et il est normal qu’un tel peuple n’inspire plus beaucoup de respect. Un peuple aussi dégénéré, aussi flasque, aussi consentant à disparaître, vaut-il vraiment mieux que ses remplaçants ?

Autodestruction

Les droits de l’homme touchent au but. Il leur aura fallu moins de trois siècles pour mettre à genoux la civilisation occidentale. Le coup de grâce est proche. Si nous voulons vivre, il est désormais urgent de substituer aux droits de l’homme les droits de la civilisation. De notre civilisation.

Sacrifices humains

 Il paraît qu’il y a eu 200 000 morts du Covid aux États-Unis. Que c’est un terrible record. Une catastrophe. Un cataclysme. Une hécatombe.

200 000. C’est le nombre d’avortements en France. Chaque année. Depuis 45 ans… C’est bon ? Vous avez fait le compte ?

Mais je sais. Je sais ce qu’on va m’objecter. J’entends déjà d’ici le chœur des humanistes hurler péremptoirement que ça n’a rien à voir ! Qu’on ne peut pas mettre sur le même plan deux sujets aussi différents !! Que ce n’est absolument, mais alors pas du tout pareil ! Et puis merde, arrête de nous enculer les oreilles avec tes obsessions de catho-facho ! Ces grands sensibles ont raison. Mille fois raison. Sacrifier chaque année, depuis 45 ans, 200 000 êtres humains à l’aube de leur vie, ce n’est pas pareil que…

… restons entre esthètes : la suite est réservée à ceux qui savent vraiment apprécier ma plume. Explications :

Ce texte fait partie de l’ouvrage :

La fin des utopies

 Il est grand temps de réaliser qu’il n’y a aucune pitié, et donc aucun secours à attendre des dévots du multikulti. Il est grand temps de comprendre qu’aucune souffrance, aucune tragédie ne pourra attendrir ces fanatiques ; qu’ils trouveront toujours un sophisme, une entourloupe sémantique, un baratin d’escroc, une pirouette entortillée ou une intimidation bien placée pour préserver leurs abstractions idéologiques de la réalité. Tout doit être sacrifié au dogme du vivre-ensemble. Le nouvel homme nouveau, c’est-à-dire le citoyen du monde, doit advenir, quel qu’en soit le prix. Peu importent les tensions communautaires, les déprédations, les agressions, les homicides, les viols : ils ne sont rien face au vivre-ensemble rayonnant qui, en toute logique, en résultera. De même que les déportations, les travaux forcés, les famines, le cannibalisme, les viols, les tortures, les meurtres, les génocides engendrés par l’application concrète de l’utopie communiste devaient naturellement déboucher sur l’avenir radieux.

Il faut donc insister, aller toujours plus loin, en rajouter encore et encore, et surtout ne pas prêter attention aux jérémiades de ces cons de peuples, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez : ils ne connaissent pas leur bonheur. Comme ces râleurs du goulag ne savaient pas, ces ingrats, ces idiots, distinguer l’avenir radieux qui, au loin, se levait… approchait… était pour bientôt… pour demain… Demandez au Coréens du Nord.

Il en va du multiculturalisme comme du communisme : deux utopies, deux dénis de nature humaine, deux carnages.

Toujours la même loi, implacable : qui sème l’utopie récolte le chaos.

(extrait de Guerre et femmes)