Sans ambiguïté ni lâcheté aucune face aux charia-racailles, le ministre de la Rééducation nationale a donc exhorté les jeunes filles harcelées, insultées et violées pour leur tenue haram à s’habiller « de façon républicaine ». Sinon, vous comprenez, elles l’auront bien cherché… Il est bien connu, en effet, que la charia exige que les filles s’habillent de façon républicaine ; et que les charia-racailles sont pétries des Valeurs de la République.
Le problème, dans les établissements scolaires, n’est donc pas que des charia-racailles, des chariacailles, des chacals cherchent à y faire régner la charia ; le problème est que des filles, en assumant et en revendiquant leur féminité, résistent à cette charia. Ce, à un moment critique de l’histoire de la France où tout peut basculer… Ces filles, soit dit en passant, sont infiniment plus courageuses que tout notre personnel politique réuni. Ces filles sont l’honneur de la France. Et qu’on ne vienne pas me parler de leur « vulgarité » ou de je ne sais quelle « hypersexualisation » : ces pinaillages sont hors de propos, dans un moment si grave. De surcroît, il n’est sans doute pas absurde de répondre aux excès de puritanisme des chariacailles par un excès exactement inverse ; principe de la réponse proportionnée…
Cela étant dit, à la réflexion, on ne peut qu’approuver la proposition du ministre de la Crétinisation nationale et enjoindre ces jeunes filles de s’habiller, en effet, de façon républicaine : les premiers républicains s’appelaient les sans-culottes.