
Le journalisme justifie sa propre existence par le grand principe darwinien de la survie du plus médiocre.
Oscar Wilde
Mais comment vivait-on avant les fact-checkers ? Comment l’humanité a-t-elle pu avancer, privée de leurs lumières et de leurs vérités ? Oui, comment Aristote a-t-il pu raisonner ? Et Socrate, et Platon ? Et Saint Thomas d’Aquin ? Et même Saint Augustin ? Et Voltaire, et Rousseau ? Comment tous ces penseurs ont-ils osé penser, privés de tout accès à la parole sacrée ? La parole journaliste ? La parole des pigistes ?
Car penser sans pigiste ? Non, vous n’y pensez pas ! Du haut de leurs vingt-sept ans — et de leur formation d’excellence à l’École de Journalisme de Clermont-Ferrand —, ces génies omniscients que sont les pigistes éclairent l’humanité. Ils la guident sur les chemins du Beau et du Vrai. Il était temps.
Depuis des millénaires, l’humanité errait. Divaguait. Se perdait. Depuis des millénaires, elle pataugeait dans la sottise. S’enlisait dans l’ignorance. Et puis vinrent les pigistes. Jusqu’alors aveugle et sourde, l’humanité, enfin, ouvrit les yeux ; et ses oreilles, enfin, ouïrent la Vérité. De leurs salles de rédaction, les pigistes lui montrèrent la lumière. L’inondèrent de leur infini savoir. Grâce à leurs Décodex, c’en était bien fini des millénaires de fake news sur lesquelles s’étaient construites les misérables civilisations du passé. Oui c’en était fini des nains nommés De Gaulle, Saint Louis, Richelieu, Clovis, Philippe le Bel, Louis XIV, Charlemagne. Enfin, et pour la première fois, l’humanité s’était trouvé des guides à sa hauteur : les pigistes.
Les pigistes, autrement dit les fact-checkers, c’est-à-dire les décrypteurs, engagèrent l’humanité sur les voies de l’intelligence et de la connaissance. À coups de Décodex, ils déchirèrent les brumes de crétinisme dans lesquelles…
… restons entre esthètes : la suite est réservée à ceux qui savent vraiment apprécier ma plume. Explications :
« La seule manière de gagner de l’argent est de travailler de manière désintéressée. » Je révère Baudelaire, mais je dois me résoudre à cette désillusion : Baudelaire avait tort. Pour écrire, j’ai ruiné ma carrière. J’ai tiré un trait sur les gros salaires que me promettait mon gros diplôme de grosse école d’ingénieurs. Et je vais au devant de procès, d’intimidations, de saccages de ma vie sociale et de tourments en tous genres… J’en suis donc arrivé à me dire, peut-être orgueilleusement, que l’ivresse de mes textes valait bien celle d’un demi-demi de bière. Par mois… Et je me suis même dit, peut-être ingénument, que ceux qui m’appréciaient seraient heureux de pouvoir me témoigner leur gratitude par ce petit geste. Un petit geste pas si petit, à l’aune de l’effet qu’il aurait sur ma confiance et sur mon engagement… Un petit geste qui pourrait susciter de grandes choses… car si écrire est une activité solitaire, on est bien moins fécond lorsqu’on écrit dans le désert… Merci d’avance, donc, à ceux qui estimeront que mon temps, mes efforts, mes sacrifices, et surtout le plaisir qu’ils prennent à me lire valent bien ce petit geste de reconnaissance. Et d’encouragement. Car je ne sais pas si vous avez remarqué, mais en ce siècle barbare, les belles plumes sont une espèce de plus en plus rare… une espèce menacée…
L'islam porte en lui les germes de sa propre autodestruction.Mais il peut faire encore beaucoup de mal combiné a l'athéisme( haine de Dieu) de nos sociétés.Sans doute faudra-t-il boire la coupe jusqu'a la lie mais l'islam ne passera pas.
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Le problème de l'islam, c'est qu'il lui faut des cons. Beaucoup de cons. Et tous les peuples ne le sont pas au même degré, cons.Aussi, quand un peuple ne l'est pas naturellement -con- il faut le préparer, l'assouplir intellectuellement, l'abêtir à pas mesurés pour qu'il soit enfin descendu assez bas pour être prêt à accepter et louer la RATP.
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Comment faire confiance à des gens qui n'ont lu qu'un livre et l'invoque pour chaque chose de la vie ?
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