L’alternative n’est pas entre croire au Grand Remplacement, et ne pas y croire ; elle est entre le constater, et le nier. Entre s’attacher aux faits, et se réfugier dans le déni.
PS : 2015 – 1968 = 47 ans ; se demander quelle allure auront ces cartes dans 47 ans…
Indice : en 1997, il y avait 18,5 % de naissances musulmanes en Seine-Saint-Denis (soit le taux national d’aujourd’hui) ; en 20 ans, ce taux est passé à 51 %.
Indice : en 1997, il y avait 18,5 % de naissances musulmanes en Seine-Saint-Denis (soit le taux national d’aujourd’hui) ; en 20 ans, ce taux est passé à 51 %.

Notre fin est inscrite dans les chiffres, et elle est proche. Le choix est entre un sursaut collectif rapide, qui sera forcément douloureux, voire sanglant, et la préparation individuelle, dès maintenant, de notre émigration.
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Même au fin fond des campagnes (le Gers pour nous), nous commençons à croiser des femmes voilées avec poussette. Et dire que nous avions quitté le centre-ville de Bordeaux en partie pour ne plus en voir. Râté!!Sophie
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Le sursaut collectif des Français on le connait depuis de nombreuses décennies : fuite ou soumission. Comme disait l'autre : ce qu'il faudrait en France, ce sont des usines à couilles.
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